Tout dans l’Histoire, dans les Histoires, montre que les peuples ne peuvent être enchaînés !
Seule l’arrogance des hautes castes, voudrait leur faire croire le contraire.
La vanité avec laquelle elles défendent la vacuité de leurs intentions,
« Travaillant pour elle seule (ndlr : la bourgeoisie), exploitant pour elle seule, massacrant pour elle seule, il lui est nécessaire de faire croire qu’elle travaille, qu’elle exploite, qu’elle massacre pour le bien final de l’humanité. Elle doit faire croire qu’elle est juste. Et elle-même doit le croire. »
Paul Nizan, « Les chiens de garde », 1932
les conduit au naufrage, pire au naufrage des peuples, dont elle sont sensées préserver le bien être.
La France a connu de nombreux séismes, d’amplitudes variées ; mais les arrogantes hautes castes ne veulent rien voir.
Les révolutions, les printemps (et n’oublions pas le printemps français de 68), rien n’y fait !
Certes certaines sont orchestrées par elles, qui préfèrent des conflits prévus, auxquels elles ont déjà prévu toutes les réponses.
Mais ce ne seront toujours que des digues de sable, vouées à céder un jour ou l’autre.
Il y a 50 ans, donc mai 68 en France métropolitaine, mais aussi aux Antilles, où le sang à bien coulé. Puis il y a eu la Nouvelle Calédonie.
Aujourd’hui, la Guyane, la Réunion, Mayotte ; mais ne vous y trompez pas, vous hautes castes ! Vous ignorez l’Histoire, et elle se répétera !
Le Monde a rétréci, partout les peuples refusent leurs hautes castes, corrompues : Afrique, Moyen-orient, Europe, même Israël.
Il y a 50 ans, les manifestations guadeloupéennes s’étaient terminées en massacre
Un an avant les manifestations de mai 68, des manifestants guadeloupéens étaient violemment réprimés. Selon les sources, le massacre commis par les forces de l’ordre française fait de 7 à 100 morts. À l’heure où la Guyane défile pour ses droits, l’histoire éclaire les particularités des mouvements sociaux ultramarins.