Certes, les garçons efféminés existent, d’ailleurs aussi bien homos qu’hétéros, « précieux » dit-on.
Mais inutile d’en rajouter des tonnes comme ces folles tordues « parisiennes », bien protégées dans leur marais puant de vieilles « crapotes ».
Elles ne se sentent plus concernées par le malaise que cela peut engendrer, chez ceux qui justement, vivent mal ce manque de « virilité », imposée par le regard des autres, dans une société homophobe par nature.
Car soit elles ne l’ont jamais vécu (tant mieux), soit elles tentent de l’exorciser au mépris de la souffrance des autres.
Confortées par ce parisianisme médiatique, comme si le reste de la France n’existait pas, et pavanant à la télévision, pour amuser des gogos écervelés et au rire convenu.
On avait déjà les « marseillais à … », et nombre de télés « pseudo réalité », il ne manquait que la tapiole du grand bazar, tordue comme un trombone et tortillant du cul avec autant de naturel que peut en avoir de la margarine comparée au beurre ; tant que ça glisse.
Elles donnent une image déplorable de la communauté, comme s’il était besoin d’ajouter à l’homophobie ambiante.
Pire les tapettes à la mode, l’adulent, sans se rendre compte du tort que ces starlettes leur causent, dans la campagne provinciale.
Alors oui soit tu passes pas à la télé (si tu es passé à la casserole ?), soit tu passes à tabac !
Et dire qu’il faudra les supporter jusqu’à l’arthrose, qui nous délivrera, peut-être, de ces tortillements de croupions, appel au peuple de producteurs pour lesquels le talent, artistique, n’est que très accessoire.
On s’enfonce, on s’enfonce.
(Eric Iankovsky)