La « rencontre » avec l’Autre doit-elle toujours être une audition comme au théâtre ?
Dans la comédie d’une vie non vécue qui pourrait se transformer, au fils des regrets, en tragédie.
Un spectacle navrant, mal mis en scène, où ne peuvent jouer que des acteurs « brillants », intellectualisant leur rôle incompris.
Tellement parfaits dans une médiocrité brillante, à regrets parfois, malgré eux souvent, le petit doigt en l’air et le coeur sec, mais brillants dans les dîners mondains.
Du coup me vient un rêve : pourquoi ne serais-je pas le con du dîner ?
Quelle délectation serait-ce que de goûter à l’authentique patate chaude !
Mais attention à ne pas à me laisser éblouir par les couverts en métaux précieux (merci Monsieur Molière) qui n’ajoutent rien au goût du plat.