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Si François Hollande avait voulu finir de se discréditer sur la scène internationale, il ne s’y serait pas pris autrement. Mais, ce discrédit vaut aussi pour l’ensemble des positions françaises sur la crise syrienne.
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(Jacques Sapir)
La règle veut que le capitaine quitte le navire en dernier, et pourtant :
Il semble acquis que lorsqu’un chef d’état n’ayant plus rien de représentatif, s’accroche pathétiquement au fantôme du pouvoir, il ne lui reste plus qu’à déclencher des conflits.
Et comme ce pourquoi il est à sa place n’a JAMAIS été son objectif, peu importe qu’il entraîne avec lui ses concitoyens ; il nous a déjà entraîné dans la misère, et les guerres lointaines… à quand la guerre ?
Nous avons déjà les attentats, de terroristes vrais (ou fabriqués ?!), des centaines de victimes pour nous convaincre et entretenir notre peur.
Cela lui suffira-t’il ?
le « capitaine de pédalo » et sa clique ont déjà quitté le navire !
(Eric Iankovsky)