Si de mon corps la cuirasse est de peau,
Pourtant c’est sûr, de force elle fait défaut
Comme je la voudrais forte et plus étanche
Rien n’y fait parfois mes yeux s‘épanchent
Découvrant du monde la fragile beauté
Qu’ils ressentent autour de moi la bonté
S’envole mon âme songeuse et sensible,
Vers des lieux où plus rien n’est pénible
Flot d’émotions qu’en toute circonstance,
Cœur n’y suffit plus et entre tous balance
E.Iankovsky (2001)