Depart

Quid Vita

Depart

 

Toi, enfin, je le vois dans tes yeux,
Brûlant mon âme depuis longtemps,
Dont j’ai rêvé une éternité

Que la plume jouisse sur la page
Tel le sang dans mon cœur en tangage

Etrange beauté venue des cieux
Pousse aux plaisirs nos corps hésitants
Nous partageant sans moralité

Que la plume jouisse sur la page
Telle la rivière dans le paysage

Pour toujours nous pensions rester deux
Attristé mon cœur désenchantant
Se sent seul de nous être quittés

Que la plume jouisse sur la page
Telles les larmes striant mon visage

Eric Iankovsky (2000)

 

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