Quand t’aimer si fort jusqu’à trop d’amour, que de haine mon cœur s’emplisse,
« Quand, comme la plume, se laisser bercer par la brise mon cœur espère,
Ainsi le fort vent de ma raison la porte pour qu’elle ne chute à terre.
Quand, lasse de tant de sécheresse, ma raison la pluie souhaite ardemment,
Ainsi mon cœur aspire à rester sec, blessé d’avoir battu si fort et si souvent. »
Ainsi simplement te haïr jusqu’à t’aimer d’amitié, que ma raison l’assagisse.
Eric Iankovsky (1999)