Le français, dans toute son arrogance, qui perdure encore, incapable d’être pragmatique, champion du déni.
Devant les réalités du monde, qui n’ont même plus besoin de la science (toujours sans conscience), continue de prétendre que la terre est plate :
– la France pays de la liberté, dictature déguisée sous le masque d’idéologies socialistes représentées par des pantins décérébrés et manipulés par le grand banditisme de la finance internationale.
– Paris ville lumière, qui, lorsqu’on marche sur ses trottoirs, pue la merde, et pas que celle des chiens (qui n’ont plus rien d’autre à bouffer que la merde qu’on leur sert au prétexte d’amour).
– La France et son système social 4 ème rang mondial lorsqu’on parle de coût et… 19 ème si l’on parle d’efficacité.
– Le français qui refuse les statistiques ethniques (pas celles pour “cataloguer” mais celles pour comprendre) et qui prétend avec arrogance donner des leçons d’intégration, parquant ses immigrés dans des clapiers hors de nos jolies cités (comme on le fait avec les décharges),
et qui, du coup, prétend qu’on peut accueillir un chinois de la même manière qu’un africain.
Arrogance et déni qui engendrent un climat détestable et une haine de moins en moins dissimulée envers ces immigrés, incapables de s’intégrer, et pour cause.
– la France qui forme des dictateurs dans ses universités pour mieux les avoir à sa botte lorsqu’ils rentrent s’enrichir sur le dos de leurs populations ;
qui, quand elles n’en peuvent plus, viennent grossir les rangs de ces pauvres gens qui meurent, au mieux sur la mer, au pire sur nos plages (ça fait désordre).
Mais un jour la poche déborde et le mouchoir n’y suffit plus !
Tout se paye un jour.
Car à force de créer une misère dans des contrées de moins en moins lointaines, il faut un jour payer pour nourrir et héberger les miséreux qu’on a créés, qui eux, pensent que l’herbe est plus verte ici.
(Eric Iankovsky)
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