Si l’on veut tuer son chien…

Quid Vita

Si l’on veut tuer son chien…

… on l’accuse d’avoir la rage !

Les signes étaient pourtant présents, dès la campagne (photo) !

Le gouvernement VEUT conserver l’état d’urgence, mais c’est de moins en moins possible. Il veut donc inscrire dans la Loi cet « état d’urgence », qui du coup, ne serait plus une exception, mais une normalité.

Question : pour s’assurer l’accord du Peuple, mais sans être « populiste » (mot employé à tort et n’importe comment), serait-il capable d’entretenir la peur ?
Constat : pour vendre des vaccins à la sécurité sociale, il le fait déjà.

Lorsqu’on voit, les menaces de l’europe, contre l’Angleterre à propos du Brexit, lorsqu’on voit la répression du gouvernement espagnol contre le peuple catalan, lorsqu’on voit les menaces et les insultes de macrotte 1er, dictateur non avoué, élu par défaut (grâce à une abstention record)…

Il semble que le gouvernement ait un grand besoin d’inscrire l’état d’urgence dans la normalité : l’Armée et la Police à la botte, prêtes à en découdre avec un peuple amorphe, planté devant ses ordiphones (smartphones), abruti par des médias à la solde et des émissions de télé-réalité, qui n’ont rien à voir avec la réalité, sinon la masquer d’un nuage de débilités.

Les dictatures ont toujours été installées par le Peuple ; mais le Peuple se réveille tôt ou tard.
Malheureusement, parce qu’il confond progrès et évolution, il a la mémoire de plus en plus courte, installé dans son pseudo-confort.

Pourtant, les chants de la République, dédaignés par ce même Peuple, nous préviennent :

« Celui qui ignore l’Histoire est condamné à la reproduire… »

Average rating 0 / 5. Vote count: 0

No votes so far! Be the first to rate this post.

Back To Top